Génocides, crimes contre l'humanité et crimes de guerre ne sont plus seuls à nourrir la demande de justice universelle. Verra-t-on bientôt celle-ci s'appliquer à des cas d'écocides, de faillites de pays provoqués par des fonds vautours ou d'actes terroristes face auxquels les États paraissent impuissants ?
Découvrez l'article publié dans le magazine Usbek & Rica ci-dessous :
Par Benoît Hervieu-Léger USBEK et RICA
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